Clap de fin pour l’Airfryer ? Cet appareil plus simple et moins cher pourrait bien le remplacer
Pendant plusieurs années, l’Airfryer s’est imposé comme l’allié incontournable des cuisines modernes. Rapide, compact et pratique, il a séduit des millions de foyers à la recherche de plats croustillants avec moins de matière grasse. Mais une nouvelle génération d’appareils multifonctions pourrait bien bouleverser cet équilibre. Selon plusieurs observateurs du secteur, un multicuiseur signé Ninja s’impose aujourd’hui comme une alternative plus complète, plus simple et plus économique.
Alors, faut-il vraiment dire adieu à l’Airfryer ? Décryptage.
Pourquoi l’Airfryer a changé nos habitudes en cuisine
L’Airfryer a marqué un tournant dans la façon de cuisiner au quotidien. Grâce à la cuisson à air chaud pulsé, il permet de préparer frites, légumes rôtis, viandes ou gâteaux avec très peu de matières grasses. Résultat : des repas plus légers, prêts en un temps record.
Son succès repose aussi sur sa facilité d’utilisation. Quelques réglages, un panier à remplir, et le tour est joué. Pour de nombreux foyers, il a remplacé le four pour les petites portions et s’est imposé comme une solution rapide pour les repas de semaine.
Mais avec le recul, certaines limites apparaissent. L’Airfryer excelle dans la cuisson rapide, mais montre ses faiblesses dès qu’il s’agit de mijoter, de braiser ou de préparer un repas complet dans un seul récipient. Résultat : malgré un appareil en plus sur le plan de travail, les casseroles et autres ustensiles restent indispensables.
Le multicuiseur qui veut remplacer tous les autres
C’est précisément sur ce point qu’intervient le Foodi PossibleCooker 8-en-1. Contrairement à l’Airfryer, il ne se limite pas à une seule technique de cuisson. Il propose plusieurs modes permettant de saisir, faire revenir, mijoter lentement, cuire à feu doux ou encore maintenir au chaud.
Son atout principal réside dans son bol en fonte émaillée. Celui-ci peut être utilisé directement sur une plaque de cuisson ou au four, jusqu’à 240 degrés. Cela permet de démarrer une recette sur le plan de travail, puis de la terminer au four pour gratiner ou dorer, sans changer de récipient.
Avec une capacité de 8 litres, l’appareil se prête aussi bien aux repas familiaux qu’aux grandes tablées. Un seul contenant suffit pour préparer une entrée, un plat et même un dessert, ce qui limite la vaisselle et libère de l’espace dans les placards.
Une utilisation plus simple au quotidien
Autre argument souvent mis en avant par les utilisateurs : la facilité d’entretien. La cuve, le couvercle en verre et les accessoires passent au lave-vaisselle. Le corps de l’appareil, quant à lui, se nettoie simplement avec un chiffon humide.
Là où certains Airfryers peuvent s’avérer contraignants à nettoyer, notamment au niveau du panier et des grilles, ce multicuiseur mise sur une approche plus classique et plus intuitive, proche de celle d’une marmite traditionnelle, mais avec la précision de l’électroménager moderne.
Un prix plus accessible que beaucoup d’Airfryers
Dernier point, et non des moindres : le prix. Proposé autour de 150 euros selon les offres, le Foodi PossibleCooker se positionne souvent en dessous de nombreux Airfryers haut de gamme, tout en offrant bien plus de fonctionnalités.
Pour ce budget, l’utilisateur ne gagne pas un appareil supplémentaire, mais un véritable remplaçant de plusieurs équipements : casserole, mijoteuse, sauteuse et même plat allant au four.
L’Airfryer, bientôt dépassé ?
L’Airfryer conserve évidemment ses adeptes, notamment pour la cuisson express et les petites portions. Mais face à des appareils plus polyvalents, capables de s’adapter à toutes les recettes et à tous les moments de la journée, son statut d’indispensable est de plus en plus questionné.
Pour celles et ceux qui cherchent à simplifier leur cuisine, réduire le nombre d’appareils et gagner en flexibilité, ce nouveau type de multicuiseur pourrait bien marquer la prochaine grande évolution culinaire. L’Airfryer n’est peut-être pas mort, mais il n’est plus seul sur le trône.
