Voici pourquoi vous ne devriez jamais écrire « Amen » sur une publication Facebook
Qu’y a t-il de mal à taper « Amen »? Rien, pensai-je, jusqu’à ce qu’un ami m’avertisse des conséquences de ce geste. J’ai décidé de partager cette information.
Si vous êtes un utilisateur régulier de Facebook et quelqu’un qui ressent de la compassion pour la souffrance des autres, vous avez sûrement remarqué ces publications qui disent des choses comme « Je sais que tu ne veux pas » Comme « cette photo parce que je suis malade » ou « Type » Amen ‘pour me guérir. »
J’étais l’une de ces personnes qui se sentaient mal en voyant les types de messages «Continuez à faire défiler si vous êtes sans cœur» jusqu’à ce qu’un ami m’avertisse de l’arnaque qui se cache derrière.
Il n’y a pas de vie qui peut être sauvée avec un « J’aime » ou une maladie qui peut être guérie en tapant « Amen »: vous le faites pour montrer votre soutien, mais, malgré votre bonne intention, en faisant cela, vous êtes très susceptible aider les spammeurs Facebook à gagner de l’argent facilement.
Ces types de messages manipuleurs sont conçus pour tromper ou exploiter les gens à aimer, partager ou commenter, ce qui à son tour entraîne l’accumulation de suiveurs sur la page. Les créateurs de la page diffusent ensuite des publicités malveillantes, des virus et des escroqueries. Ils gardent également vos données et savent où vous vivez, votre date de naissance, et votre email, qui pourrait être utilisé pour pirater votre compte.
Lorsque vous partagez ces messages, vous faites réellement du tort en augmentant leur popularité. Parce que lorsque cela se produit, le propriétaire de la page gagne de l’argent en utilisant une image volée d’un animal souffrant ou d’un bébé malade dont la famille n’a aucune idée qu’il est utilisé.
Alors la prochaine fois que vous vous sentez mal de ne pas partager un de ces messages sur votre mur, gardez à l’esprit que vos « J’aime » et « Amen » ne sauveront pas des vies, cela aidera seulement un groupe de personnes sans cœur à remplir leurs poches.
