Customize Consent Preferences

We use cookies to help you navigate efficiently and perform certain functions. You will find detailed information about all cookies under each consent category below.

The cookies that are categorized as "Necessary" are stored on your browser as they are essential for enabling the basic functionalities of the site. ... 

Always Active

Necessary cookies are required to enable the basic features of this site, such as providing secure log-in or adjusting your consent preferences. These cookies do not store any personally identifiable data.

No cookies to display.

Functional cookies help perform certain functionalities like sharing the content of the website on social media platforms, collecting feedback, and other third-party features.

No cookies to display.

Analytical cookies are used to understand how visitors interact with the website. These cookies help provide information on metrics such as the number of visitors, bounce rate, traffic source, etc.

No cookies to display.

Performance cookies are used to understand and analyze the key performance indexes of the website which helps in delivering a better user experience for the visitors.

No cookies to display.

Advertisement cookies are used to provide visitors with customized advertisements based on the pages you visited previously and to analyze the effectiveness of the ad campaigns.

No cookies to display.

Faut-il laver ses vêtements aussi souvent ? La grande question du « sale »

Le lavage des vêtements est un rituel quotidien pour beaucoup, mais la définition de ce qui est « sale » varie grandement d’une personne à l’autre. La publication récente du guide de l’Ademe incitant à réduire la fréquence des lavages a relancé le débat sur les bonnes pratiques. Alors, faut-il vraiment laver son jean après trois jours ? Son pull après une semaine ? Ou peut-on espacer encore plus ces lavages ?

Des habitudes très personnelles

Si la majorité des gens changent de sous-vêtements chaque jour et adaptent leur fréquence de lavage en été à cause de la transpiration, d’autres vêtements comme les pulls et les jeans suivent des règles beaucoup plus variées. Certains préfèrent aérer leurs pulls plutôt que de les passer en machine, d’autres les lavent tous les deux jours. De même, le jean, souvent perçu comme un tissu robuste, peut être porté quelques jours ou plusieurs semaines sans passer par la machine.

Dominique ne lave ses pulls « qu’une à deux fois par hiver », estimant qu’ils sont protégés par les couches de vêtements en dessous. D’autres, comme Michel, optent pour un lavage beaucoup plus fréquent, tous les deux jours. Sylvia, elle, privilégie l’aération au lavage, suspendant ses vêtements en laine dehors pour les rafraîchir sans les abîmer.

Une organisation spécifique pour les vêtements « entre-deux »

Il existe également une zone grise entre le propre et le sale, où les vêtements ont été portés mais peuvent encore servir. Plutôt que de les ranger directement dans l’armoire ou de les laisser traîner sur une chaise, certains comme Charline ont mis en place une organisation spécifique : chaque membre de la famille dispose d’un cube de rangement dédié aux habits déjà portés mais encore réutilisables.

Le jean : un champion de la longévité ?

Le jean est l’un des vêtements les plus controversés en matière de fréquence de lavage. Dominique le porte « 15 jours (sauf tâche) » tandis que Bertrand estime que trois à quatre jours sont un bon compromis. Mais la palme revient à Chantal, qui pousse jusqu’à un mois et demi, motivée par des considérations écologiques et économiques. « On ne salit pas tant que ça les vêtements si on se lave soi-même tous les jours », justifie-t-elle.

Une lessive plus responsable

Derrière ces différences d’habitudes se cache une réflexion plus large sur notre rapport à la consommation et à l’environnement. Alphonsine adopte une position équilibrée : « On ne regarde pas au nombre de machines, mais on ne les fait pas tourner à vide non plus. » Un bon moyen d’économiser l’eau et l’énergie tout en gardant des vêtements propres.

Et puis, comme le souligne Yuri avec une pointe de provocation, l’impact écologique de nos lessives reste faible en comparaison d’autres pratiques polluantes : « Même si je faisais une machine à laver tous les jours, toute ma vie, je n’arriverais pas, en matière d’équivalent CO2, à un seul voyage en avion. »

Alors, plutôt que de se fier aux habitudes toutes faites, pourquoi ne pas simplement écouter son bon sens ? Entre aération, réutilisation et lavage raisonné, il est possible de trouver un équilibre entre propreté, économie et écologie.

Vous aimerez aussi...

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *